Hello, hello mes p’tits choux !
J’espère que vous allez bien et que vous n’êtes pas sous l’eau, comme nous le sommes sur Montpellier. Aujourd’hui, je vous retrouve pour une lecture commune (cela faisait longtemps, tiens !) avec Valentine du blog Le brocoli de Merlin. Nous avons lu le roman Avenue Nationale de Jaroslav Rudis et nous remercions Babelio et Mirobole éditions pour nous avoir permis cette lecture.
Vandam est peintre en bâtiment. Il a connu la dépendance aux drogues et la prison. Il est fasciné par l’histoire militaire, voue un culte aux grands chefs de guerre et fait deux cents pompes par jour. Il hante la taverne de sa banlieue praguoise pour boire des bières ou se battre. Il vit une aventure avec la serveuse Lucka. Et il est fier d’avoir donné le premier coup lors de la Révolution de Velours de 1989 qui a précipité la chute du communisme tchèque. Dans ces pages, il livre ses « leçons de vie » et déverse ses obsessions, entre le rire et la rage.
Épopée européenne et universelle, poème brutal et mélancolique, monologue dense et halluciné, Avenue nationale plonge le lecteur dans la tête d’un néoextrémiste ordinaire perdu dans une démocratie en quête d’identité et reflète les paradoxes des idéologies contemporaines.
Je ne vais pas faire de détour : Ce roman est un vrai paradoxe. Nous n’avons pas de véritable histoire, mais vraiment des tranches de vie du personnage principal Vandam.
J’ai eu du mal à accrocher avec ce personnage qui se veut comme étant un homme ayant une réflexion sur la société qui l’entoure, mais qui, au final, reste un pilier de comptoir. Parfois, il m’a fait le même effet que le personnage principal de « Je vais m’y mettre » (une critique arrive bientôt), dans le sens où ils disent une chose et font l’inverse de cette chose. Je préfère quand le personnage a au moins cette honnêteté envers lui-même. Vandam est décrit dans la quatrième de couverture comme un néo-extrémiste, mais si on l’écoute, pas du tout..
Avec Valentine, nous avons vraiment eu du mal avec ce roman. Ecrire cette critique a été compliqué et Valentine a eu le même soucis que moi. Ce livre est une expérience, je pense, un genre vraiment à part que je peux conseiller qu’aux personnes qui souhaitent sortir des sentiers battus. Par contre, je ne dis pas que vous en sortirez indemne.
Aie aie, il m’intéressait déjà bof quand j’ai vu la couverture, mais là encore beaucoup moins ^^ Bon, au moins je suis fixée ^^
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Il n’a pas plu autant à Valentine qu’à moi donc on peut difficilement te contredire si il ne te tente pas ^^
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Heureusement que vous avez fait cette « expérience » ensemble. C’est ce qui est bien dans les lectures communes ça rassure sur sa perception du roman.
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Le résumé ne me tente absolument pas du tout x)
Je vais faire l’impasse sur celui-là ^^
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Je n’aime pas vraiment ces réflexions qui se veulent sociétales mais qui s’en tiennent aux lieux communs et ne sont pas plus profondes que ça. Je ne m’attarderai donc pas sur ce livre!
Merci pour ta chronique en tout cas!
Victoire
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Ce livre ne me tente pas trop mais c’est sympa de l’avoir découvert 🙂
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Ouille, le résumé me tentait bien mais ta critique me refroidit.
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Je pense que je vais passer mon tour pour celui-là.
Bisous à toi et à plus sur nos blogs respectifs!
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Pas sure que le personnage m’attire des masses… mais ta chronique est super sympa, comme d’hab.^^
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Un pur pilier de comptoir, oui, c’est tout à fait ça… Bref ! On va s’empresser de l’oublier ce bouquin, je crois xD Vivement notre prochaine LC pour passer à autre chose :p
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